Blogue Auto compassion et amour de soi en tant que parent

L’autocompassion ou l’amour de soi en trois temps quand on est parent

En collaboration avec Marie-Eve Rheault thérapeute en relation d’aide pour Maman Active

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Quand j’écoute une personne proche de moi me raconter ses difficultés, naturellement, mon cœur s’ouvre à elle, je deviens attentive, présente, soutenante, chaleureuse. Bref, je ressens de la compassion pour elle.

L’autocompassion consiste à adopter la même posture, mais envers soi-même. Simple, n’est-ce pas? Non, pas nécessairement.

L’autocompassion se retrouve dans trois composantes.

1 – la bienveillance envers soi

La bienveillance envers soi, en opposition à l’autocritique, qui elle, consiste à se juger, à avoir un discours intérieur dur envers soi.

L’autocritique va prendre un de nos défauts et en faire une grande histoire négative, utilisant des mots comme toujours, jamais. Elle nous tape dessus.

La bienveillance, c’est plutôt reconnaître nos erreurs, sans les dramatiser, et cultiver l’indulgence envers soi-même.

Je sais que je ne suis pas parfaite, mais mes défauts ne discréditent pas mes qualités.

Je suis, comme toute personne, dotée de belles qualités et de défauts. C’est normal.

2 – La reconnaissance de mon humanité

Peut-être un peu méconnue encore, la reconnaissance de mon humanité, est la 2e composante dont je veux te parler.

Qu’entend-on par là?

Reconnaître mon humanité, c’est de voir que je ne suis pas seule à vivre des difficultés, des défis, des épreuves, des échecs.

Ça arrive à tous les humains. Évidemment, on ne souhaite pas banaliser ce qui nous vivons. Mais nourrir l’idée que nous sommes la seule à vivre des échecs ou des revers renforce notre sentiment de solitude et peut mener à de l’isolement et de la honte.

Alors que si je prends le portrait global de ma situation, je peux en tirer une vision plus juste et apprendre de ce que je vis, cultiver ma résilience, rebondir, aller chercher de l’aide et partager mon expérience.

3 – La pleine conscience

Prendre le temps de s’arrêter est essentiel. Pour ressentir ce qui nous traverse et l’accueillir. La pleine conscience, c’est ressentir son corps, prendre le temps d’identifier nos pensées, nos émotions. Si je ne m’arrête jamais pour me « sentir », je manque de compassion envers moi.

Je m’active et je suis menée par des forces intérieures dont j’ignore tout. La respiration, la cohérence cardiaque ou la méditation peuvent être des outils pour développer cette habitude d’attention envers nous-mêmes.

Mais ce peut être encore plus simple, comme de s’asseoir une minute, regarder par la fenêtre, poser les mains sur soi.

En te souhaitant de poser un regard doux sur toi, je termine avec ce petit test pour évaluer ton niveau d’auto-compassion.

https://www.esantementale.ca/index.php?m=survey&ID=50

Chaleureusement vôtre,

Marie-Eve, TRA, thérapeute en relation d’aide®

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Véronique Brouillette Coach pour les femmes et les mamans actives !

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